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Trump menace une action en justice contre Jerome Powell
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Trump menace une action en justice contre Jerome Powell

Trump menace une action en justice contre Jerome Powell

Donald Trump intensifie ses critiques contre Jerome Powell, président de la Réserve fédérale. Sur sa plateforme sociale, il a évoqué la possibilité d’une action en justice majeure à son encontre, à cause du coût jugé astronomique des rénovations du siège de la Fed, passé de 1,9 à 2,5 milliards de dollars. Il a qualifié Powell d’« incompétent » et de « trop lent », accusant sa politique des taux de freiner la croissance.

Ce dossier s’ajoute à une longue série de tensions. Malgré des discussions avec des élus républicains, Trump a exclu la possibilité d’un licenciement immédiat, rappelant que la loi interdit de relever le président de la Fed sans raison justifiée. Néanmoins, il juge cette rénovation comme un gâchis de fonds publics et source d’échec managérial.

Des élus proches de Trump ont même transmis une action pénale au ministère de la Justice, l’accusant de parjure pour avoir prétendument trompé le Congrès sur les coûts réels. Ces initiatives traduisent une attaque politique ciblée, cherchant à affaiblir l’autorité de la Fed.

Sur le plan économique, cette tension affaiblit sérieusement l’indépendance de la Réserve fédérale, soulevant des inquiétudes quant à la politisation de la politique monétaire. Face aux pressions, Powell maintient le cap prudent, soulignant que la Fed agit selon des critères économiques, et non politiques.

Trump espère ainsi infléchir la politique des taux, qu'il juge trop restrictive. En toile de fond, c’est une véritable bataille de pouvoir qui oppose désormais le gouvernement à l’institution centrale de régulation monétaire américaine.

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Circle une blockchain dédiée à l’USDC

Circle vient de lever le voile sur Arc, sa propre blockchain de niveau 1 pensée spécifiquement pour les transactions en stablecoin. Taillée pour les paiements, le Forex et les marchés des capitaux, Arc se positionne comme une infrastructure EVM-compatible, conçue pour allier performance institutionnelle et intégration fluide avec l'écosystème Ethereum.

L’innovation clef d’Arc ? L’usage de l’USDC comme token natif pour les frais de transaction, garantissant une tarification stable et sans volatilité. Le protocole promet également une finalité de transaction en moins d’une seconde, un moteur de change intégré et des fonctionnalités de confidentialité optionnelles pour répondre aux exigences réglementaires tout en préservant l’anonymat.

L’architecture d’Arc est optimisée pour les environnements financiers : capacité allant jusqu’à 3 000 transactions par seconde avec 20 validateurs, ou même 10 000 avec seulement quatre validateurs, grâce à un consensus performant. Son enveloppe logicielle est pensée pour apporter une fiabilité maximale, tout en restant ouverte à tous les développeurs – un pont entre l’open source et les standards institutionnels.

Le lancement se fait en plusieurs étapes : une version test réseau privé dans les prochaines semaines, suivie par un testnet public dès cet automne, avant une bêta mainnet attendue en 2026. Cette phase progressive reflète une approche prudente, destinée à garantir une transition maîtrisée vers un usage à grande échelle.

Cette annonce a été faite dans le cadre d’un reporting performant pour Circle : ses revenus du second trimestre ont grimpé de 53 %, malgré une perte nette liée à son introduction en bourse. La circulation de l’USDC atteint désormais plus de 61 milliards de dollars, indiquant une adoption toujours plus vaste.

Arc représente une étape stratégique majeure pour Circle. En créant un réseau stablecoin-native, la société renforce son rôle de catalyseur dans l’évolution de la finance numérique, en facilitant l’utilisation de l’USDC pour des usages institutionnels, réglementés et mondiaux.

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Le Trésor américain explore les moyens d’étendre sa réserve en Bitcoin

Le gouvernement américain détient actuellement entre 15 et 20 milliards de dollars en Bitcoin, acquis via des saisies judiciaires, composant un “réserve stratégique” instaurée par décret présidentiel. Aucune acquisition directe n’est prévue, mais l’idée fait son chemin.

Le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a précisé que la situation serait clarifiée : tout achat futur devra être “budget-neutre”, c’est-à-dire sans coût additionnel pour les contribuables. Le recours à d'autres actifs gouvernementaux, voire la revente de certains actifs, est envisagé comme vecteur possible.

Cette stratégie s’inscrit dans une vision politique affirmée : faire des États-Unis la “superpuissance mondiale du Bitcoin”. Mais elle se heurte à des obstacles légaux : seul le Congrès peut autoriser des acquisitions substantielles, ce qui complique les ambitions présidentielles mises en œuvre uniquement par décret.

En l’absence de financement explicite, le Trésor étudie donc des mécanismes détournés, comme l’échange d’actifs ou des réallocations budgétaires internes. Mais rien de concret n’a encore été réalisé, ce qui limite l’impact immédiat sur le marché du Bitcoin.

Cette position a provoqué une nette correction du prix du Bitcoin, passé en quelques heures d’un record historique à un recul sous la barre des 119 000 dollars, faisant chuter les marchés cryptos via des liquidations massives.

L’évolution de cette politique reste à suivre : si le Trésor trouve réellement un moyen de renforcer sa réserve sans solliciter de nouveaux fonds, cela pourrait envoyer un signal durable sur l’adoption institutionnelle du Bitcoin. Mais pour l’heure, tout reste hypothétique.

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