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CZ et Peter Schiff débattent de la future monnaie saine
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CZ et Peter Schiff débattent de la future monnaie saine

CZ et Peter Schiff débattent de la future monnaie saine

Lors de la Binance Blockchain Week 2025 à Dubaï, Changpeng Zhao et Peter Schiff ont confronté leurs visions de ce que pourrait être une monnaie saine dans le futur. Peter Schiff défend l’or tokenisé comme fondation idéale. Pour lui, l’or reste l’actif le plus fiable et la tokenisation permet simplement de moderniser son usage, en rendant l’actif plus mobile sans lui retirer sa nature physique. Il considère qu’aucune monnaie durable ne peut reposer sur un actif immatériel.

CZ présente une vision opposée. Selon lui, Bitcoin constitue déjà une infrastructure monétaire complète, adaptée au monde numérique. Sa rareté programmée, son absence d’intermédiaires, la facilité de vérification et sa résistance à la censure en font un système supérieur à une version numérisée de l’or. Il insiste sur la transparence du registre public, un atout impossible à reproduire dans un modèle reposant sur des coffres et des audits périodiques.

Le débat met également en lumière les limites pratiques de l’or tokenisé, comme la dépendance à des tiers pour la conservation des lingots et la difficulté de vérifier en temps réel que chaque token correspond bien à un stock physique. De l’autre côté, les critiques adressées à Bitcoin portent sur sa volatilité et l’absence d’un ancrage matériel, même si ses partisans considèrent cela comme une force plutôt qu’une faiblesse.

En fin de compte, aucune conclusion tranchée n’a émergé. Le face-à-face révèle surtout la confrontation entre deux philosophies monétaires. L’une repose sur la stabilité et la tangibilité d’un actif millénaire. L’autre mise sur la puissance d’un réseau numérique mondial capable d’assurer la confiance sans entité centrale. Le débat reste ouvert et reflète les grandes lignes de fracture qui structurent aujourd’hui l’évolution de la monnaie.

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Prêter son Bitcoin pour éviter de le vendre pour Strategy ?

Dans un contexte de pression financière et de volatilité accrue, certaines entreprises fortement exposées au Bitcoin étudient une stratégie alternative à la vente de leurs réserves. L’idée consiste à prêter leurs BTC pour obtenir de la liquidité tout en conservant la propriété de l’actif. Cette approche permet de financer des dépenses courantes, d’honorer des engagements financiers ou de verser des dividendes, sans réduire l’exposition à long terme au Bitcoin.

Le mécanisme repose sur l’utilisation du BTC comme collatéral pour obtenir un prêt, généralement en monnaie fiat ou en stablecoins. L’intérêt est double. D’abord, l’entreprise conserve ses bitcoins et peut continuer de bénéficier d’une éventuelle hausse future du marché. Ensuite, elle évite de déclencher une vente taxable, ce qui peut représenter un avantage fiscal conséquent selon les juridictions. Cette méthode s’apparente aux prêts sur actifs utilisés dans la finance traditionnelle, mais appliquée ici à un actif numérique.

Cette stratégie présente toutefois des risques importants. Le plus critique concerne la volatilité de Bitcoin. Une chute brutale du prix peut entraîner une liquidation du collatéral si la valeur empruntée dépasse un seuil prédéfini. Les emprunteurs doivent donc gérer attentivement leur ratio prêt/valeur et accepter des marges prudentes pour réduire la probabilité de liquidation forcée. La stabilité du prêteur et la sécurité de la garde jouent également un rôle majeur dans la viabilité de cette approche.

Malgré ces contraintes, l’idée séduit. Elle permet de mobiliser un actif sans s’en séparer, répond à des besoins financiers immédiats et s’inscrit dans une logique de conviction long terme. À mesure que les infrastructures de prêt crypto gagnent en maturité et en transparence, cette pratique pourrait devenir une composante courante de la gestion de trésorerie des entreprises exposées au Bitcoin.

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La plus jeune femme milliardaire du monde grâce à Kalshi

Luana Lopes Lara, ancienne ballerine formée au prestigieux Bolchoï, s’est imposée comme une figure majeure de la tech en devenant la plus jeune femme milliardaire “self-made” au monde. Après avoir quitté la danse pour étudier l’informatique au MIT, elle cofonde en 2018 Kalshi, une plateforme de marchés prédictifs permettant de parier sur l’issue d’événements réels comme les élections, la météo ou des indicateurs économiques. Le succès fulgurant de Kalshi en 2025, propulsée vers une valorisation dépassant les 11 milliards de dollars, a fait entrer Lara dans le cercle très restreint des entrepreneurs milliardaires de moins de trente ans.

Kalshi se démarque par sa conformité réglementaire et son positionnement assumé comme un marché d’informations plutôt qu’un simple outil de spéculation. Cette approche lui a permis de gagner la confiance d’utilisateurs institutionnels tout en attirant un public jeune et technophile. En capitalisant sur l’essor des marchés prédictifs et sur une infrastructure robuste, Kalshi est devenue l’une des références du secteur, capable d’intégrer finance, données et innovation technologique.

Le parcours de Luana Lopes Lara fascine par sa capacité à naviguer entre des univers radicalement différents. Passer du ballet classique à l’ingénierie informatique, puis à la fintech, exige une discipline rare et une capacité d’adaptation exceptionnelle. Cette trajectoire atypique illustre comment la rigueur, résilience, et la créativité peuvent se transposer dans l’entrepreneuriat de haut niveau et mener à une réussite spectaculaire.

L’ascension de Kalshi pourrait bien transformer durablement la perception des marchés prédictifs. En entrant dans la sphère des grands acteurs technologiques, la plateforme ouvre la voie à une nouvelle catégorie d’instruments financiers, où l’analyse d’événements et la participation citoyenne deviennent des éléments centraux. Luana Lopes Lara incarne ainsi une génération d’entrepreneurs capables de bousculer les codes, d’allier vision et exécution, et de redessiner les frontières entre finance, information et technologie.

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